4 mai 2005
Carte du 5 septembre 1915.
...Que Mère laisse le col de mon jersey tel q’il est. Je serai très heureux de recevoir une paire de bonnes guêtres, qui serait préférable aux bandes molletières pour le mauvais temps, et une flanelle, plus un peu de tabac anglais si possible. Mon Oncle François pourra vous le procurer facilement et en sera heureux. Demandez-lui de ma part. C’est tout ce dont j’ai besoin maintenant. Un couvre-nuque rendrait aussi de grands services.
Suis en excellente santé. Vous espère tous de même. Bons baisers à tous.
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